Handel: Giulio Cesare

Georg Friedrich Handel (1685-1750)
Giulio Cesare in Egitto

 

Musical director – Alan Curtis

 

Giulio Cesare – Marie-Nicole Lemieux
Cleopatra – Karina Gauvin
Cornelia – Romina Basso
Sesto – Emoke Barath
Tolomeo – Filippo Mineccia
Achilla – Johannes Weisser
Nireno – Milena Storti
Curio – Gianluca Buratto

 

Il Complesso Barocco

 

Released on December 4, 2012 by Naïve

Puccini: Il Trittico (Zia Principessa & Zita)

 

Theater an der Wien (Vienne) | October 2012

 

Straordinaria Marie-Nicole Lemieux (Zia Principessa e Zita). Vero contralto, ha mostrato una voce timbratissima e omogenea, in grado di non farsi schiacciare da certe intemperanze della direzione d’orchestra.

Angela Martin | GB Opera, October 20, 2012

Falstaff | Royal Opera House, Covent Garden, 2012


« While Mistress Quickly, fearlessly and comically overplayed by Marie-Nicole Lemieux with fruity voice and un-shy cleavage, steals the show. »

The Guardian

 

Musical director – Daniele Gatti
Stage director – Robert Carsen

 

with Ambrogio Maestri (Sir John Falstaff), Dalibor Jenis (Ford), Marie-Nicole Lemieux (Mistress Quickly), Joel Prieto (Fenton), Carlo Bosi (Dr Caius), Alasdair Elliott (Bardolph), Lukas Jakobski (Pistol), Ana María Martínez (Alice Ford), Kai Rüütel (Meg Page), Amanda Forsythe (Nannetta)

 

L’Italiana in Algeri | Opéra national de Lorraine (Nancy), 2012

 

« Marie-Nicole Lemieux aborde pour la première fois le rôle d’Isabella et réussit d’emblée une incarnation mémorable. »

ResMusica

Musical director – Paolo Olmi
Stage director – David Hermann

with Marie-Nicole Lemieux (Isabella), Yijie Shi (Lindoro), Donato Di Stefano (Mustafa), Nigel Smith (Taddeo), Yuree Jang (Elvira), Olga Privalova (Zulma), Igor Gnidii (Haly)

 

Orlando furioso | Théâtre des Champs-Elysées & Opéra national de Lorraine, 2011

 
« Clairement, la mezzo-soprano tient là un des rôles, sinon le rôle, de sa vie. »

ResMusica

 

Musical director – Jean-Christophe Spinosi

Stage director – Pierre Audi

with Marie-Nicole Lemieux (Orlando), Jennifer Larmore (Alcina), Verónica Cangemi (Angelica), Philippe Jaroussky (Ruggiero), Christian Senn (Astolfo), Kristina Hammarström (Bradamante)
 

Vivaldi: Orlando furioso

Antonio Vivaldi (1678 – 1741)
Orlando furioso, RV 728

 

Musical director – Jean-Christophe Spinosi
Stage director – Pierre Audi

Orlando – Marie-Nicole Lemieux
Alcina – Jennifer Larmore
Angelica – Verónica Cangemi
Ruggiero – Philippe Jaroussky
Astolfo – Christian Senn
Bradamante – Kristina Hammarström
Medoro – Romina Basso

Choeur du Théâtre des Champs-Elysées, chorus master Gildas Pungier
Ensemble Matheus

 

Released on December 8, 2011 by Naïve
Filmed at the Théâtre des Champs-Elysées (Paris), in March 2011, by Olivier Simonnet
DR 2148

Handel: Giulio Cesare (title role)

 

Il Complesso Barocco, Théâtre des Champs-Elysées (Paris) | November 2011

 

Chaque intervention des uns ou des autres a été applaudie, voire ovationnée par un public sans cesse plus enthousiaste au fil de la soirée, Marie-Nicole Lemieux a tout emporté sur son passage. On ne compte plus la variété des répertoires dans lesquels le contralto canadien triomphe, que ce soit dans Vivaldi, le répertoire français du XIXe siècle ou même, comme encore récemment, dans Gustav Mahler. Ce soir, elle nous aura de nouveau gratifié d’une technique vocale éblouissante (à tel point d’ailleurs que toute notion de technique s’en trouve gommée !), doublée d’un sens du théâtre évident. La fureur de l’air «Empio, dirò» (acte I), la beauté surnaturelle du célèbre «Va tacito» (magnifiquement accompagné par le corniste) ou de l’air «Se in fiorito ameno prato» (acte II, scène 2) où s’instaure un dialogue incroyable avec le violon parfait de Dmitry Sinkovsky, son duo conclusif avec Cléopâtre «Caro, Bella» (scène ultime de l’acte III): autant de moments où l’on reste bouche bée tant la beauté et la justesse de l’incarnation sont évidentes.

Sébastien Gauthier | ConcertoNet, November 25, 2011

 

Le César bouillonnant de Marie-Nicole Lemieux. (…) C’est la seule qui se lâche vraiment, la seule aussi qui connaît suffisamment son rôle pour oser détourner les yeux du pupitre et plonger dans ceux de sa partenaire. Bien sûr, à force d’entendre Marie-Nicole Lemieux, nous finissons par la connaître et même, à travers ses sourires conquérants, ses airs de défi ou ces ahanements sauvages qui surgissent à la fin des airs de bravoure, par la reconnaître, car la cantatrice se fond moins dans son personnage qu’elle n’exprime sa personnalité. (…) Depuis Sarah Connolly à Glyndebourne (MacVicar/Christie), summum d’élégance et de fantaisie, nous n’avions pas entendu de « Se in fiorito » aussi ludique et jouissif.

Bernard Schreuders | Forum Opéra, November 25, 2011

Mahler: Das Lied von der Erde

 

 

Orchestre National de France, Théâtre du Châtelet (Paris) | October 2011

 

La magnifique voix de la canadienne Marie-Nicole Lemieux, un rare vrai contralto, pour les deuxième, quatrième et sixième parties, émouvante et tout-à-fait à son aise.

Benjamin Dushani | ConcertoNet, October 27, 2011

 

Marie-Nicole Lemieux s’en tire indéniablement mieux de son côté ; sa voix ronde est d’une délicatesse et d’une sensualité réjouissantes, et l’auditoire tend l’oreille pour mieux la goûter.

Etiennes Comes | ResMusica

 

Dès le deuxième mouvement (Der Einsame im Herbst), la voix de Marie-Nicole Lemieux émerge d’un bruissement de trilles vaporeux d’une beauté à se pâmer. Tout en elle traduit le plaisir physique de la prononciation entre babil et confidence. Le talent de l’actrice perce à plusieurs reprises, parfaitement souligné par la plastique sonore de l’orchestre.

David Verdier | Anaclase, October 27, 2011