Falstaff | Royal Opera House, Covent Garden, 2012

« Devenue indissociable du rôle de Mrs QuicklyMarie-Nicole Lemieux rayonne une fois de plus d’humour et de présence. »

L’Avant-scène Opéra

 

Direction musicale – Daniele Gatti
Mise en scène – Robert Carsen

 

avec Ambrogio Maestri (Sir John Falstaff), Dalibor Jenis (Ford), Marie-Nicole Lemieux (Mistress Quickly), Joel Prieto (Fenton), Carlo Bosi (Dr Caius), Alasdair Elliott (Bardolph), Lukas Jakobski (Pistol), Ana María Martínez (Alice Ford), Kai Rüütel (Meg Page), Amanda Forsythe (Nannetta)

 

L’Italiana in Algeri | Opéra national de Lorraine (Nancy), 2012

 

« Marie-Nicole Lemieux aborde pour la première fois le rôle d’Isabella et réussit d’emblée une incarnation mémorable. »

ResMusica

Direction musicale – Paolo Olmi
Mise en scène – David Hermann

avec Marie-Nicole Lemieux (Isabella), Yijie Shi (Lindoro), Donato Di Stefano (Mustafa), Nigel Smith (Taddeo), Yuree Jang (Elvira), Olga Privalova (Zulma), Igor Gnidii (Haly)

 

Orlando furioso | Théâtre des Champs-Elysées et Opéra national de Lorraine, 2011

 
« Clairement, la mezzo-soprano tient là un des rôles, sinon le rôle, de sa vie. »

ResMusica

 

Direction musicale – Jean-Christophe Spinosi

Mise en scène – Pierre Audi

avec Marie-Nicole Lemieux (Orlando), Jennifer Larmore (Alcina), Verónica Cangemi (Angelica), Philippe Jaroussky (Ruggiero), Christian Senn (Astolfo), Kristina Hammarström (Bradamante)
 

Vivaldi : Orlando furioso

Antonio Vivaldi (1678 – 1741)
Orlando furioso, RV 728

 

Direction musicale – Jean-Christophe Spinosi
Mise en scène – Pierre Audi

Orlando – Marie-Nicole Lemieux
Alcina – Jennifer Larmore
Angelica – Verónica Cangemi
Ruggiero – Philippe Jaroussky
Astolfo – Christian Senn
Bradamante – Kristina Hammarström
Medoro – Romina Basso

Choeur du Théâtre des Champs-Elysées, dir. Gildas Pungier
Ensemble Matheus

 

Paru le 8 décembre 2011 chez Naïve
Enregistré au Théâtre des Champs-Elysées, Paris, mars 2011, par Olivier Simonnet
DR 2148

Vivaldi : Orlando Furioso, « Nel profondo »

 

Vivaldi : Orlando Furioso
« Nel profondo »

Direction musicale – Jean-Christophe Spinosi
Mise en scène – Pierre Audi

avec Marie-Nicole Lemieux (Orlando), Philippe Jaroussky (Ruggiero), Veronica Cangemi (Angelica), Jennifer Larmore (Alcina), Christian Senn (Astolfo), Kristina Hammarström (Bradamante), Romina Basso (Medoro)

 

Haendel : Giulio Cesare (rôle-titre)

 

Il Complesso Barocco, Théâtre des Champs-Elysées (Paris) | Novembre 2011

 

Chaque intervention des uns ou des autres a été applaudie, voire ovationnée par un public sans cesse plus enthousiaste au fil de la soirée, Marie-Nicole Lemieux a tout emporté sur son passage. On ne compte plus la variété des répertoires dans lesquels le contralto canadien triomphe, que ce soit dans Vivaldi, le répertoire français du XIXe siècle ou même, comme encore récemment, dans Gustav Mahler. Ce soir, elle nous aura de nouveau gratifié d’une technique vocale éblouissante (à tel point d’ailleurs que toute notion de technique s’en trouve gommée !), doublée d’un sens du théâtre évident. La fureur de l’air «Empio, dirò» (acte I), la beauté surnaturelle du célèbre «Va tacito» (magnifiquement accompagné par le corniste) ou de l’air «Se in fiorito ameno prato» (acte II, scène 2) où s’instaure un dialogue incroyable avec le violon parfait de Dmitry Sinkovsky, son duo conclusif avec Cléopâtre «Caro, Bella» (scène ultime de l’acte III): autant de moments où l’on reste bouche bée tant la beauté et la justesse de l’incarnation sont évidentes.

Sébastien Gauthier | ConcertoNet, 25 novembre 2011

 

Le César bouillonnant de Marie-Nicole Lemieux. (…) C’est la seule qui se lâche vraiment, la seule aussi qui connaît suffisamment son rôle pour oser détourner les yeux du pupitre et plonger dans ceux de sa partenaire. Bien sûr, à force d’entendre Marie-Nicole Lemieux, nous finissons par la connaître et même, à travers ses sourires conquérants, ses airs de défi ou ces ahanements sauvages qui surgissent à la fin des airs de bravoure, par la reconnaître, car la cantatrice se fond moins dans son personnage qu’elle n’exprime sa personnalité. (…) Depuis Sarah Connolly à Glyndebourne (MacVicar/Christie), summum d’élégance et de fantaisie, nous n’avions pas entendu de « Se in fiorito » aussi ludique et jouissif.

Bernard Schreuders | Forum Opéra, 25 novembre 2011

Mahler : Das Lied von der Erde

 

 

Orchestre National de France, Théâtre du Châtelet (Paris) | Octobre 2011

 

La magnifique voix de la canadienne Marie-Nicole Lemieux, un rare vrai contralto, pour les deuxième, quatrième et sixième parties, émouvante et tout-à-fait à son aise.

Benjamin Dushani | ConcertoNet, 27 octobre 2011

 

Marie-Nicole Lemieux s’en tire indéniablement mieux de son côté ; sa voix ronde est d’une délicatesse et d’une sensualité réjouissantes, et l’auditoire tend l’oreille pour mieux la goûter.

Etiennes Comes | ResMusica

 

Dès le deuxième mouvement (Der Einsame im Herbst), la voix de Marie-Nicole Lemieux émerge d’un bruissement de trilles vaporeux d’une beauté à se pâmer. Tout en elle traduit le plaisir physique de la prononciation entre babil et confidence. Le talent de l’actrice perce à plusieurs reprises, parfaitement souligné par la plastique sonore de l’orchestre.

David Verdier | Anaclase, 27 octobre 2011

 

 

Enesco : Œdipe (La Sphinge)

 

Théâtre Royal de la Monnaie (Bruxelles) | Octobre 2011

 

Marie-Nicole Lemieux, qui reçoit une ovation grâce à sa brève mais étonnante incarnation de la Sphinge – son apparition constitue un moment des plus impressionnants.

Sébastien Foucart | ConcertoNet, 22 octobre 2011

 

On saluera tout particulièrement l’extraordinaire Sphinge de Marie-Nicole Lemieux.

Nicolas Blanmont | La Libre, 24 octobre 2011

 

And it really takes off when the sphinx (Marie-Nicole Lemieux in a show-stealing performance as a tortured Janis Joplin rock star) rises from the eerie cockpit of a vintage fighter plane.

Francis Carlin | Financial Times, 24 octobre 2011

Rossini : Guillaume Tell

Gioachino Rossini (1792-1868)
Guillaume Tell

 

Direction musicale – Antonio Pappano

 

Guillaume Tell – Gerald Finley
Hedwige – Marie-Nicole Lemieux
Jemmy – Elena Xanthoudakis
Mathilde – Malin Byström
Arnold Mlcthal – John Osborn
Melcthal – Frédéric Caton
Walter Furst – Matthew Rose
Gesler – Carlo Cigni
Rodolphe – Carlo Bosi
Ruodi – Celso Albelo
Leuthold – Dawid Kimberg
Huntsman – Davide Malvestio

Coro dell’Accademia Nazionale di Santa Cecilia (Rome)
Orchestra dell’Accademia Nazionale di Santa Cecilia

 

Paru le 31 août 2011 chez EMI Classics / Warner Classics

Handel : Streams of pleasure

Marie-Nicole Lemieux, contralto
Karina Gauvin, soprano

Alan Curtis, chef d’orchestre
Il Complesso Barocco

 

Georg Friedrich Haendel (1685-1759)
1. Destructive war | Belshazzar
2. To thee, thou glorious son of worth | Theodora
3. Fury with red sparkling eyes | Alexander Balus
4. Lead me – Crystal streams in murmurs flowings | Susanna
5. From this dread scene | Judas Maccabaeus
6. Streams of pleasure ever flowing | Theodora
7. Ah! whither should we fly? – As with rosy steps the morn | Theodora
8. Prophetic raptures swell my breast | Joseph and his brethren
9. Our limpid streams with freedom flow | Joshua
10. Can I see my infant gor’d | Solomon
11. Fair virtue shall charm me | Alexander Balus
12. Thou fair inhabitant – Welcome as the dawn of day | Solomon
13. Forgive me – My father | Hercules
14. But why art thou disquieted – Oh! that I on wings could rise | Theodora
15. Great victor, at your feet I bow | Belshazzar

 

Paru le 27 juillet 2011 chez Naïve
EAN 822186052617