Mahler : Das Lied von der Erde

 

 

Orchestre National de France, Théâtre du Châtelet (Paris) | Octobre 2011

 

La magnifique voix de la canadienne Marie-Nicole Lemieux, un rare vrai contralto, pour les deuxième, quatrième et sixième parties, émouvante et tout-à-fait à son aise.

Benjamin Dushani | ConcertoNet, 27 octobre 2011

 

Marie-Nicole Lemieux s’en tire indéniablement mieux de son côté ; sa voix ronde est d’une délicatesse et d’une sensualité réjouissantes, et l’auditoire tend l’oreille pour mieux la goûter.

Etiennes Comes | ResMusica

 

Dès le deuxième mouvement (Der Einsame im Herbst), la voix de Marie-Nicole Lemieux émerge d’un bruissement de trilles vaporeux d’une beauté à se pâmer. Tout en elle traduit le plaisir physique de la prononciation entre babil et confidence. Le talent de l’actrice perce à plusieurs reprises, parfaitement souligné par la plastique sonore de l’orchestre.

David Verdier | Anaclase, 27 octobre 2011

 

 

Enesco : Œdipe (La Sphinge)

 

Théâtre Royal de la Monnaie (Bruxelles) | Octobre 2011

 

Marie-Nicole Lemieux, qui reçoit une ovation grâce à sa brève mais étonnante incarnation de la Sphinge – son apparition constitue un moment des plus impressionnants.

Sébastien Foucart | ConcertoNet, 22 octobre 2011

 

On saluera tout particulièrement l’extraordinaire Sphinge de Marie-Nicole Lemieux.

Nicolas Blanmont | La Libre, 24 octobre 2011

 

And it really takes off when the sphinx (Marie-Nicole Lemieux in a show-stealing performance as a tortured Janis Joplin rock star) rises from the eerie cockpit of a vintage fighter plane.

Francis Carlin | Financial Times, 24 octobre 2011